jeudi, juillet 07, 2005
Non rien de rien, non je ne regrette rien !
Ne sachant quoi écrire, je m’adonne une nouvelle fois à la facilité. C’est à dire à l’écriture automatique. Le résultat est souvent surprenant (du moins de mon point de vue), là ça risque d’être pire. Il ne doit pas être loin de quatre heures quand je commence cette note, je suis au travail dans l’attente de la fin de la coupure électrique (et là, vous vous demandez peut-être comment je fais pour écrire, c’est simple, j’utilise un pc portable). Je commence à être fatigué, et le pire c’est que je sais que je ne vais pas dormir avant ce soir. Pour l’instant je ne pense pas publier ce que je suis en train de taper vu le manque d’intérêt certain du contenu ! Bon en même temps je suis relativement coutumier du fait d’écrire un post sans intérêt. Le pire, c’est que vous les lisez quand même et qu’en plus vous les commentez ! Je ne suis vraiment pas sur de vous comprendre ! Qu’est-ce que je pourrai bien vous raconter… Je n’en sais rien ! Commenter l’actualité ne m’intéresse pas, si encore on parlait du Darfour plutôt que de ces jeux olympiques de merde ! Je pourrais comme beaucoup d’autre blogger parler de Amityville, mais je n’ai pas encore eu le temps d’aller le voir. Je pourrais vous parler du dernier livre que j’ai lu et finit tout à l’heure, mais cela n’a que peut d’intérêt, je ne suis pas doué pour ça. Je pourrai vous parler de musique, mais c’est tellement vaste que je ne serais pas quoi dire. En fait, je sais ce dont je ne veux pas parler, mais je ne sais pas ce dont je voudrai parler. Vous parler de moi ne m’intéresse pas non plus, je ne suis pas sur d’être totalement objectif ! Donc je vais vous parler de rien, ce n’est pas la première fois, cela ne sera certainement pas la dernière. Le rien est un sujet que je commence à maîtriser ! Ce qui n’est pas évident, car plus je m’en approche, moins je le vois. Que dire sur le rien, si ce n’est lui-même. Mais ne rien dire sur rien ne fais rien avancer sur rien. En y regardant de plus près le rien est un tout. Il englobe tellement de chose (et tellement de gens aussi) que ce n’est pas rien, et pourtant si, c’est bien lui ! Rien que de dire ceci j’ai tout dit, et pourtant non, c’est même plutôt le contraire ! Tout dire sur le rien c’est ne rien dire, pourtant c’est ce que j’essai de faire. Mais rien n’y fait. A l’inverse, je suis incapable de vous parler de tout, sans rien (il est encore là lui) oublier ce n’est pas possible. Si c’est pour ne rien dire sur tout, je peux le faire. C’est plus facile que tout dire sur rien ! Je ne sais pas vous, mais je n’ai pas tout compris à mes propos, je n’ai même rien compris du tout, ni rien compris du rien. Bon, il est tôt, je vais arrêter là ce texte un peu chaotique et retourner bosser. Je ne sais pas encore quand je le netterrai en ligne, mais vous le verrez bien ! Le (ou la) premier(e) qui dit que je suis un bon à rien… ben… et bien… je demande à Folie de dresser son chat contre lui (ou elle) pour que son chat y morde le crâne!

