dimanche, juin 26, 2005
Scientifico-Largygraphie
Je vais vous parler un peu de moi, afin que vous me connaissiez un peu mieux. Je vais vous raconter comment je suis devenu un scientifique de l’extrême. Tout commença dans mon plus jeune âge, à la période des « pourquoi ». C’est à cette époque que la nécessité c’est vite fait sentir que si je voulais savoir quelque chose, il valait mieux me le demander à moi-même. Je ne pouvais en aucun cas me fier aux dires de mon entourage, comment aurais-je pu avoir confiance en des personnes dont les plus hauts faits scientifiques sont soit de confondre des pieds de tomates avec de la mauvaise herbe et tout arracher (pour ma mère) soit l’expérimentation de la vie sans une goutte de sang dans les veines (pour mon père). Ce n’est même pas la peine que je parle de mon frère (plus âgé de deux ans) et que j’aidais à faire ces devoirs sur des cours que je n’avais pas encore eu (mais qui depuis c’est bien rattrapé dans l’étude du décapsulage de bière avec les dents). Scientifiquement livré à moi-même, j’ai étudié en autodidacte. Pour cela, j’ai dû voyager à de nombreuses reprises et me rendre dans des endroits extrêmes tel que le fond du jardin et même le bois situé derrière ce dernier. De ces points d’observation privilégiés j’ai pu étudier la faune et la flore qui cohabite avec nous dans ce vaste monde. Certaines de ces expéditions scientifiques m’ont même amené jusqu’à la rivière qui coule paisiblement en contrebas du bois déjà cité. Sur le trajet menant au grand morin (rivière citée précédemment) j’en profitais pour étudier la dynamique du bicross associé à la théorie de la gravité de Newton en milieu hostile. Durant toutes ces années d’études intenses du monde, j’ai exploré énormément de sujet tel que, la duré de vie d’une fourmi soumis à un faisceau de lumière solaire au travers d’un concentrateur comme une loupe, le taux de résistivité du bicross et du corps humain lancé à toute vitesse dans un mur (ces crashs tests sont maintenant repris par toutes les firmes automobiles) et accessoirement la dernière limite d’éjection du vélo avant le choc. Je vous épargnerai toutes mes recherches et découvertes, car certaines sont encore en cours d’études, d’autres sont classées confidentielles et certaines sont bien trop compliquées. J’espère que ces quelques mots vous ont permis de mieux comprendre l’esprit scientifique qui m’habite et justifie la crédibilité de mes publications1, j’espère également qu’ils vous aideront à comprendre comment j’ai pu répondre jusqu’à présent aux diverses questions qui m’ont été posées. Pour celles auxquelles je n’ai pas encore répondues, c’est que l’étude n’en est pas encore finie ou bien que les découvertes que j’ai fait sur le sujet peuvent bouleverser de manière irrémédiable le monde dans lequel nous vivons.
1Tous les scientifiques sont obligés de publier leurs découvertes pour être reconnus, pour ma part je publie sur ce blog… ce n'est pas de chance pour vous.